Tomado de el periódico El Día
Seis expertos canarios y uno peninsular participarán en las jornadas que ha organizado el Instituto de Estudios Canarios de La Laguna del 10 al 13 de diciembre, encuentro en el que se analizarán las aportaciones de cada investigador (entre los ponentes cabe destacar a nuestros socios Manuel Ramírez Sánchez y José Farrujía de la Rosa).
El Instituto de Estudios Canarios (IEC) de La Laguna ha organizado unas jornadas en homenaje al arqueólogo Luis Diego Cuscoy con motivo del centenario de su nacimiento, encuentro que se celebrará del 10 al 13 de diciembre en su sede social.
Esta propuesta contempla media docena de conferencias y una mesa redonda. Son "unas jornadas multidisciplinares en las que se abordará la obra de Luis Diego Cuscoy en todas sus facetas, el contexto en el que se desarrollaron sus actividades y la trascendencia de las mismas, tanto en su época como en la actualidad", aseguran los organizadores.
El curso, cuya inscripción y matrícula se podrán realizar en la sede del IEC, comenzará el lunes, día 10, con una charla sobre "La arqueología española ente 1939 y 1970. La Comisaría y el Servicio Nacional de Excavaciones Arqueológicas" a cargo de Manuel Ramírez Sánchez, de la Universidad de Las Palmas (ULLPG). Poco después intervendrá Miguel Ángel Clavijo Redondo, de la Universidad de La Laguna (ULL), quien expondrá el tema "Luis Diego Cuscoy: el hombre, el literato y el periodista".
El día 12 Manuel Ferraz Lorenzo, de la ULL, hablará sobre "La enseñanza primaria en Canarias entre la II República y el franquismo. El maestro Luis Diego". Después le tocará el turno a Juan Francisco Navarro Mederos (ULL), quien disertará sobre "El arqueólogo Luis Diego Cuscoy: 40 años de historia de la arqueología canaria".
La jornada del miércoles contará con la presencia de José Farrujia de la Rosa, miembro de la Sociedad Española de Historia de la Arqueología, quien centrará su conferencia en "Los indígenas canarios... ¿prehispánicos? Las teorías del poblamiento prehistórico durante el franquismo". El siguiente ponente será José Alberto Galván Tudela (ULL), cuya disertación versará sobre "Del folclore a la antropología en la obra de Luis Diego Cuscoy".
El día 13 terminará el curso con la charla que impartirá Cristo M. Hernández, de la Consejería de Educación, sobre "La arqueología tinerfeña y Luis Diego Cuscoy: pasado y presente". Acto seguido habrá una mesa redonda sobre "Trascendencia de la obra de Luis Diego Cuscoy" en la que participarán todos los conferenciantes.
Luis Diego Cuscoy (Gerona, 1907 - Santa Cruz de Tenerife, 1987) se dedicó al estudio de la arqueología canaria, además de destacar como escritor, periodista, maestro reformista, etnógrafo y antropólogo. Los expertos consideran que de la mano de Cuscoy "la arqueología y la antropología canarias adquirieron un nivel científico del que habían carecido hasta entonces", además de proyectar la prehistoria canaria en el exterior, a través de congresos internacionales. También supo entender la importancia del contexto en la investigación arqueológica, además de concebir una visión antropológica de la arqueología y ser el autor de la primera interpretación global de la prehistoria de Tenerife.
sábado, 8 de diciembre de 2007
jueves, 6 de diciembre de 2007
CONFERENCIA EN PARÍS SOBRE EL APROVISIONAMIENTO DE COBRE EN EL IMPERIO ANTIGUO Y MEDIO EGIPCIOS
Mercredi 12 décembre 2007 - 18h30
à l'espace mendès france
Entrée libre
Approvisionnement et métallurgie du cuivre en Egypte à l’Ancien et au
Moyen Empire : l’apport des fouilles archéologiques d’Ayn Sokhna (IFAO-
Paris IV, La Sorbonne)
Grégory MAROUARD,
Doctorant en archéologie, université de Poitiers, Equipe HeRMA,
allocataire de recherche de la Région Poitou-Charentes.
Grands consommateurs de métaux, les anciens égyptiens sont connus de
tous pour leur savoir faire et leur habileté dans la réalisation de
produits finis en cuivre et en bronze. Toutefois, jusqu’à très récemment
la métallurgie du cuivre aux périodes historiques anciennes n’était
connue que par de rares très représentations iconographiques provenant
des tombes.
Depuis 2002, les fouilles archéologiques de sauvetage entreprises par la
mission IFAO – Paris IV La Sorbonne à Ayn Sokhna ont apporté un
éclairage nouveau sur l’approvisionnement de la vallée du Nil et sur les
phases primaires du travail du cuivre.
Positionné stratégiquement sur la côte occidentale de la Mer Rouge, le
site d’Ayn Sokhna a servi durant l’Ancien Empire et le Moyen Empire de
relais aux expéditions minières à destination de la péninsule du Sinaï,
principale zone d’exploitation du minerai de cuivre. Outre un vaste
corpus d’inscriptions pariétales qui signale le passage sur le site de
plusieurs expéditions royales successives au cours du Moyen Empire (vers
2000 – 1850 av. J.-C.), d’importantes installations logistiques ont pu
être mises au jour attestant une utilisation du site comme point
d’embarquement vers le Sinaï dès la fin de l’Ancien Empire. La
découverte d’un ensemble unique d’ateliers métallurgiques remontant au
Moyen Empire offre également la possibilité le mieux comprendre les
premières étapes de la production du cuivre, de la réduction du minerai
à l’affinage du métal avant son envoi dans la vallée.
à l'espace mendès france
Entrée libre
Approvisionnement et métallurgie du cuivre en Egypte à l’Ancien et au
Moyen Empire : l’apport des fouilles archéologiques d’Ayn Sokhna (IFAO-
Paris IV, La Sorbonne)
Grégory MAROUARD,
Doctorant en archéologie, université de Poitiers, Equipe HeRMA,
allocataire de recherche de la Région Poitou-Charentes.
Grands consommateurs de métaux, les anciens égyptiens sont connus de
tous pour leur savoir faire et leur habileté dans la réalisation de
produits finis en cuivre et en bronze. Toutefois, jusqu’à très récemment
la métallurgie du cuivre aux périodes historiques anciennes n’était
connue que par de rares très représentations iconographiques provenant
des tombes.
Depuis 2002, les fouilles archéologiques de sauvetage entreprises par la
mission IFAO – Paris IV La Sorbonne à Ayn Sokhna ont apporté un
éclairage nouveau sur l’approvisionnement de la vallée du Nil et sur les
phases primaires du travail du cuivre.
Positionné stratégiquement sur la côte occidentale de la Mer Rouge, le
site d’Ayn Sokhna a servi durant l’Ancien Empire et le Moyen Empire de
relais aux expéditions minières à destination de la péninsule du Sinaï,
principale zone d’exploitation du minerai de cuivre. Outre un vaste
corpus d’inscriptions pariétales qui signale le passage sur le site de
plusieurs expéditions royales successives au cours du Moyen Empire (vers
2000 – 1850 av. J.-C.), d’importantes installations logistiques ont pu
être mises au jour attestant une utilisation du site comme point
d’embarquement vers le Sinaï dès la fin de l’Ancien Empire. La
découverte d’un ensemble unique d’ateliers métallurgiques remontant au
Moyen Empire offre également la possibilité le mieux comprendre les
premières étapes de la production du cuivre, de la réduction du minerai
à l’affinage du métal avant son envoi dans la vallée.
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